Programmes de primes: les meilleurs et les pires - Immigrer.com
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Programmes de primes: les meilleurs et les pires

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De immigrer.com
Par Protégez-Vous

«Avez-vous la carte Air Miles?» vous demande-t-on à l’épicerie, à la quincaillerie et à la pharmacie. Certains consommateurs s’empressent de sortir la carte bleue, alors que d’autres n’en peuvent plus de se faire poser cette question. Qu’on les aime ou non, les programmes de récompenses sont partout, y compris sur les cartes de crédit.
Lesquels sont les plus avantageux? Pour le savoir, nous avons comparé 15 programmes de récompenses et plus de 80 cartes de crédit assorties de tels plans. Pour chaque cas, nous avons calculé un ratio de récompense, soit le rapport entre la valeur de la récompense et le montant qu’il faut dépenser pour l’obtenir. Conclusion: les programmes les plus répandus ne sont pas nécessairement les plus profitables.
Prenons l’exemple du très connu Air Miles. En général, vous obtenez un mille pour chaque 20 $ dépensé chez les détaillants participants. Un vol aller-retour Montréal-Paris «coûte» 5?150 points en septembre (basse saison). Vous devrez donc dépenser 103 000 $ (20 $ x 5?150 points) pour l’obtenir. Au moment de notre enquête, le billet le moins cher que nous avons trouvé coûtait 318 $ (taxes et frais en sus) avec le transporteur Corsair. Le ratio de récompense est alors de 0,3 % (318 $ ÷ 103 000 $). Et vous devrez payer les taxes et les frais de votre poche?; dans ce cas-ci, ils s’élèvent à 464$.
Bien sûr, ces ratios peuvent varier grandement. Dans le cas d’Air Miles, vous pouvez accumuler vos milles deux fois plus vite si vous utilisez aussi une carte de crédit associée à ce programme et si vous magasinez souvent chez les détaillants participants (Rona, IGA, Jean Coutu, etc.). La destination ou la récompense choisie peut aussi faire varier le ratio. Pour comparer les programmes de voyages, nous avons choisi un vol Montréal-Paris et un vol Montréal-Las­ Vegas, compte tenu de la popularité de ces destinations.
Pour chaque programme, nous avons établi un ratio minimal, un ratio maximal et un ratio moyen calculés en fonction de différents scénarios d’accumulation et d’échange de points. Nous n’avons pas tenu compte des points offerts en prime à l’adhésion et à l’achat de certains produits en particulier. Sauf indication contraire, les ratios présentés dans cet article sont les ratios moyens.

La face cachée des programmes de récompenses
Chaque fois que vous utilisez votre carte de crédit, le commerçant paie des frais qui correspondent à entre 1,5 et 3 % du montant de l’achat. Les frais les plus élevés sont associés aux cartes qui offrent de nombreux avantages, y compris des récompenses. À titre de comparaison, quand vous utilisez votre carte de débit, le détaillant paie des frais fixes de six à huit cents par transaction. «C’est un cercle vicieux, affirme Charles Tanguay, porte-parole de l’Union des consommateurs. Plus les programmes de récompenses sont généreux, plus les consommateurs utilisent leurs cartes de crédit et plus ça coûte cher aux commerçants.»
Les détaillants canadiens paient aux grands réseaux de cartes de crédit et à leurs fournisseurs de services près de cinq milliards de dollars de frais par année. En vertu des ententes avec Visa et MasterCard, qui traitent plus de 90 % des transactions par carte de crédit au Canada, les détaillants ne peuvent pas imposer de frais supplémentaires aux consommateurs qui paient par carte de crédit. Par ailleurs, à partir du moment où ils signent avec Visa et MasterCard, ils ne peuvent pas refuser certains types de cartes aux frais plus élevés, par exemple les cartes à récompenses.
Pour éponger les frais liés aux cartes de crédit, les commerçants augmentent les prix de leurs produits et services. Ainsi, tous les consommateurs paient pour les cartes de crédit et leurs programmes de récompenses… y compris ceux qui paient en argent comptant ou par débit! Selon une étude du Consumer Payments Research Center, un centre de recherche affilié à la Federal Reserve Bank of Boston, cela entraîne un transfert d’argent implicite des consommateurs qui paient comptant vers ceux qui utilisent des cartes de crédit.
En moyenne chaque année, les foyers qui paient en argent comptant ou par carte de débit transfèrent 149 $ aux ménages qui paient par carte de crédit, et ces derniers reçoivent 1 133 $ des foyers qui paient comptant ou par débit. Selon les chercheurs, les foyers les plus riches sont aussi ceux qui utilisent le plus les cartes de crédit assorties de récompenses. Ainsi, les foyers les plus pauvres (revenus de 20 000 $ ou moins par année) paient en moyenne 21 $ par année aux plus riches (revenus de 150 000 $ ou plus par année), qui reçoivent en moyenne 750 $. D’après l’étude, réduire les frais de transaction et les programmes de récompenses permettrait d’atténuer ces iniquités.

Surfacturer ou pas?
Selon le Bureau de la concurrence, les règles que Visa et MasterCard imposent aux commerçants sont «contraignantes et anticoncurrentielles». En décembre dernier, le Bureau a donc demandé au Tribunal de la concurrence d’abolir ces clauses. Le jugement devrait être rendu en 2012. La Coalition québécoise contre la hausse des frais de transaction par carte de crédit et de débit, qui représente plus de 30 000 entreprises québécoises, est en faveur de l’abolition des règles restrictives de Visa et MasterCard.
La question ne fait pas l’unanimité chez les groupes de défense des consommateurs. Selon l’Union des consommateurs, permettre aux détaillants de facturer le coût lié aux cartes de crédit serait «un pas dans la direction de la transparence et de l’équité». De son côté, Option consommateurs s’oppose à la surfacturation pour les cartes de crédit. «Si la surfacturation est permise, il se peut que les détaillants imposent des frais plus élevés que le coût réel aux consommateurs. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé en Australie, où la surfacturation est permise», souligne Jean-François­ Vinet, analyste des services financiers à l’organisme. «Pour éviter ça, le gouvernement pourrait plafonner les frais de transaction des cartes de crédit et interdire aux détaillants de facturer plus cher que le coût réel aux clients», réplique Charles Tanguay.
Toutefois, les deux associations s’entendent sur une idée: le plafonnement des frais de transaction par carte de crédit, une solution aussi favorisée par la Coalition québécoise contre la hausse des frais de transaction par carte de crédit et de débit. Advenant un changement des règles concernant la facturation des frais de cartes de crédit, les émetteurs pourraient soudainement se montrer moins «généreux» envers les consommateurs et mettre un frein à leurs programmes de récompenses.

Attention: vous êtes suivi!
À l’ère du numérique, on ne compte plus le nombre de services «gratuits» qu’on obtient en échange d’information plus ou moins personnelle: on n’a qu’à penser à Facebook ou à Google. Les conditions d’utilisation de ces services sont tellement longues et complexes qu’il est difficile de comprendre ce que font exactement ces entreprises avec nos données.
Les programmes de fidélisation ne font pas exception: en échange d’information sur vos habitudes de consommation, on vous offre des récompenses (voyages, cartes-cadeaux, etc.). La plupart des conditions d’utilisation stipulent que ces données ne seront pas communiquées à des tiers. «Les données d’un programme, c’est l’actif le plus important d’une entreprise. Elle n’a pas intérêt à les vendre, affirme Paul Lafortune, consultant dans le domaine de la fidélisation. Par contre, l’opérateur d’un programme peut vendre des données agrégées à un fournisseur pour cibler un groupe, par exemple 200 000 femmes qui ont une certaine habitude de consommation.»
«Quand ils participent à des programmes de fidélisation, peu de gens sont conscients de laisser des traces sur leurs habitudes, observe Charles Tanguay. C’est un prix cher à payer compte tenu du faible taux de récompense offert aux consommateurs. Imaginez une affiche qui annoncerait un grand solde de 1 %. Ça n’attirerait pas grand monde. Pourtant, les programmes de récompenses fonctionnent. Ils créent un intérêt qu’on s’explique mal.»
Mais selon Jean-François Ouellet, professeur de marketing à HEC Montréal, le risque de participer à de tels programmes est minime. «L’industrie se discipline assez bien en termes de protection de l’information personnelle, dit-il. Rien ne semble indiquer qu’il y a des abus.» D’après M. Ouellet, les programmes de fidélisation ont un impact plus direct sur les consommateurs en faisant augmenter le prix des produits et services dans les commerces participants. «Si vous allez dans un endroit où il y a un programme de fidélisation, vous payez pour ça, que vous en profitiez ou non. Alors, aussi bien embarquer!» conseille-t-il.
De son côté, Paul Lafortune ne croit pas que les programmes de fidélisation fassent augmenter le coût des produits. «En théorie, c’est possible, dit-il. En pratique, avec la concurrence, ça n’entraîne pas de surcoût. Les détaillants font émettre une partie des points par les fournisseurs pour rendre leurs programmes plus abordables. On passe du marketing de masse au marketing ciblé. C’est un déplacement et même une réduction des dépenses en marketing.»

Recours collectifs contre Aéroplan et Optimum
Les gestionnaires de programmes de récompenses ont la fâcheuse habitude de changer leurs règles et la valeur de leurs points (ou milles) à leur guise. Voilà pourquoi des cabinets d’avocats ont déposé des demandes de recours collectifs contre Aéroplan et Optimum à la Cour supérieure du Québec.
Le programme Aéroplan a annoncé deux nouvelles règles en octobre 2006. La première stipule que, à compter du 1er janvier 2007, les milles sont datés et qu’ils expirent après sept ans. Les milles accumulés avant sont datés du 31 décembre 2006. La deuxième règle exige que les membres du programme fassent au moins une transaction (accumulation ou échange de milles) par année à compter du 1erjuillet 2007. Cette obligation est rétroactive au 30 juin 2006. Aéroplan affirme avoir informé ses membres par la poste et par courriel de ces nouvelles règles. Or, il semblerait que plusieurs consommateurs n’ont pas reçu l’information. Certains d’entre eux auraient perdu des milliers de milles et auraient dû payer plusieurs centaines de dollars pour les récupérer. En effet, Aéroplan permet à ses membres de récupérer des milles expirés pour des frais de 30 $ plus un cent par mille.
Dans sa requête en vue d’intenter un recours collectif contre Aéroplan, le cabinet d’avocats Merchand Law Group affirme qu’Aéroplan est en rupture de contrat et qu’il doit dédommager les membres ayant perdu des milles en raison des nouvelles règles.
De son côté, le programme Optimum, de Pharmaprix, a changé unilatéralement et rétroactivement la valeur des points détenus par ses quelque 10 millions de membres le 1er juillet 2010. Par exemple, avant cette date, on pouvait échanger 7 000 points contre un rabais de 10 $. Depuis le 1er juillet 2010, il faut en troquer 8 000 pour obtenir le même rabais. Le cabinet d’avocats Sylvestre, Fafard, Painchaud juge qu’il est illégal et abusif de réduire rétroactivement la valeur des points de ce programme. Les juristes demandent donc le rétablissement des points accumulés avant le 1er juillet 2010 à leur valeur originale.
La Cour supérieure du Québec n’a pas encore autorisé ces deux recours collectifs. Nous vous tiendrons informé de la suite des choses.

Les 3 meilleurs
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Choice Privileges
Ne dépensez que 600 $ et obtenez une nuitée gratuite.
Si vous voyagez beaucoup, particulièrement en Amérique du Nord, l’adhésion à ce programme de la chaîne Choice Hotels (Comfort Inn, Quality Inn, Econo Lodge, etc.) est à considérer. Pour chaque dollar dépensé dans l’un des 6?000 hôtels de la chaîne, vous obtenez des points échangeables contre des nuitées ou encore contre des chèques-cadeaux chez des détaillants tels qu’Esso, Future Shop et Sears. D’autres chaînes d’hôtels, notamment Marriott, ont des programmes semblables et également avantageux. Pour récolter des points encore plus vite, on peut utiliser les cartes de crédit Choice Privileges MasterCard et Chase Visa Platine Marriott Rewards.

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Scène
Allez voir 10 films et le 11e est gratuit.
Le programme Scène, des cinémas Cineplex Divertissement, est généreux envers les cinéphiles. Il ac­corde 100 points par adulte et 50 points par enfant de 13 ans et moins pour chaque film vu dans ses cinémas. Par ailleurs, vous obtenez un boni de 20 points si vous achetez vos billets au www.cineplex.com. Pour obtenir un laissez-passer gratuit, valable pour un enfant ou un adulte, vous devez accumuler 1?000 points. Les cartes de débit et de crédit Scène de la Banque Scotia permettent d’amasser des points encore plus rapidement.

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VIA Préférence
Achetez 13 allers-retours et le 14e est gratuit.
Vous appréciez les charmes du voyage en train et l’utilisez régulièrement? La carte VIA Préférence est pour vous. Le programme vous donne un point pour chaque dollar dépensé chez VIA Rail. Prenons l’exemple d’un aller-retour entre Montréal et Sainte-Foy qui coûte 88 $ sans les taxes (les points sont accordés sur les achats nets). Après 13 allers-retours, vous aurez accumulé les 1?100 points nécessaires pour obtenir un aller-retour gratuit entre ces villes. Si vous dépensez plus de 1?000 ou 2?000 $ par année chez VIA Rail, vous gagnez encore plus de points pour chaque dollar dépensé.c

5 conseils
Pour obtenir un meilleur ratio de récompense, utilisez à la fois la carte du programme et une carte de crédit qui lui est associée, par exemple la carte Primes HBC et la carte de crédit MasterCard HBC. Vous doublerez ainsi vos points chez La Baie, Zellers­ et Déco Découverte en plus d’accumuler des points pour vos achats partout ailleurs (y compris chez les concurrents d’HBC).
Adhérez à un programme de récompenses seulement si vous achetez régulièrement dans le commerce qui l’offre. Sinon, il vaut sans doute mieux opter pour une carte de crédit qui vous donne des récompenses ou des remises sans égard au lieu des achats.
Lisez les règlements du programme. Par exemple, Aéroplan exige au moins une transaction par année (accumulation ou utilisation de milles), sans quoi votre compte est jugé inactif et vous perdez vos milles. Par ailleurs, ses milles expirent après sept ans.
Un programme de récompenses sur une carte de crédit n’est avantageux que si vous payez le solde en entier chaque mois, car le taux d’intérêt annuel de la plupart de ces cartes s’élève à 19,99 %.
Si vous utilisez une carte de crédit à points, échangez-les contre des produits financiers (REER, assurances, etc.) plutôt que des articles offerts par catalogue, qui sont souvent plus chers que sur le marché. Par exemple, le caméscope Canon FS300 coûte 375 Bonidollars (transport et taxes inclus) dans le catalogue de Desjardins, alors qu’on peut le trouver à 215 $ (transport et taxes inclus) sur le Web.

Les pires
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Canadian Tire
Achetez pour 100 $ et on vous donne 50 ¢.
Lancé en 1958, l’«argent» Canadian Tire est le plus vieux programme de récompenses au Canada. C’est aussi l’un des moins généreux : pour chaque 100 $ dépensé chez Canadian Tire, vous recevez 50 ¢ d’«argent» Canadian Tire (paiements au comptant et par carte de débit seulement). Toutefois, vous pouvez accumuler de l’«argent» Canadian Tire directement sur la carte de crédit MasterCard Options émise par ce détaillant. Le taux de remise est alors de 1,3 % dans ses magasins et de 1 % partout ailleurs. Cette carte permet aussi d’obtenir automatiquement le «?taux multiplicateur?» courant sur les achats d’essence chez Canadian Tire, par exemple sept fois le nombre de points. On trouve aussi des coupons multiplicateurs pour les achats d’essence au comptant et par débit dans les feuillets publicitaires du détaillant.

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Air Miles
82?500 $ pour un vol aller-retour Montréal-Las Vegas.
D’après nos calculs, les détenteurs de cette carte ont intérêt à être patients s’ils veulent obtenir des voyages gratuits. Pour le vol Montréal-Paris mentionné à la page 21, vous devrez dépenser 103?000 $ chez les détaillants participants avant d’obtenir le nombre de milles nécessaire. Comme deuxième exemple, prenons un vol aller-retour Montréal-Las Vegas en septembre.
Nombre de milles Air Miles requis: 4?125, soit une dépense de 82?500 $ au rythme d’un mille par 20 $.
Prix d’un tel vol avec United Airlines: 393 $ (taxes et frais en sus).
Ratio de récompense: 393 $ ÷ 82?500 $ = 0,5 %

Pour obtenir un ratio plus intéressant, il vaut mieux utiliser une carte de crédit associée à ce programme et émise par American Express ou par la BMO. On peut ainsi accumuler des points partout (pas seulement chez les partenaires du programme) et obtenir plus de points chez les partenaires en présentant à la fois sa carte de crédit et sa carte Air Miles. Résultat: on double son ratio de récompense. Bref, on amasse des milles plus vite. Mais même doublé, le ratio demeure faible. Voyez à la page 25 des cartes de crédit de voyages plus avantageuses.
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Primes HBC
Dépensez 4?000 $ et obtenez une carte-cadeau de 25 $.
Le programme Primes HBC permet d’accumuler des points chez Déco Découverte, La Baie et Zellers au rythme de 50 points par dollar. Ces points sont notamment échangeables contre des cartes-cadeaux chez divers détaillants. Avec un ratio de récompense d’environ 0,6 %, le programme Primes HBC est l’un des moins généreux sur le marché. Toutefois, en réglant vos achats avec la carte MasterCard HBC, vous obtenez 100 points par dollar dépensé chez Déco Découverte, La Baie et Zellers, et 50 points par dollar partout ailleurs.

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Esso Extra: vive le lave-auto!
Le ratio de récompense du programme Esso Extra est d’environ 0,5 % si vous choisissez d’échanger vos points contre de l’essence, des articles ou des chèques-cadeaux. Toutefois, il grimpe à environ 2 % si vous les échangez plutôt contre un lave-auto. Bon à savoir!

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De Automne

pour les Air miles, moi je l’utilise pas pour aller en voyage, ça prendrait bien trop longtemps…c’est arrivé que je paye pas des entrées pour aller au Biodôme ou au jardin Botanique par exemple. une fois j’ai pris mes points pour un bus voyageur. mais maintenant , il y a une nouvelle option. on accumule et après X points ( je me souviens pas combien), c’est convertis en $ et c’est déduit de la facture.

après, j’ai la carte Métro des points. comme je vais toujours là pour faire mon épicerie et après 3 mois, je reçois un coupon rabais. comme par exemple, ce mois ci, j’ai 28$ de rabais. je vais pas au Métro pour avoir des points, mais parce que c’est le plus proche de chez moi..

j’ai pas d’autres carte, je veux pas de carte de crédit d’un magasin. une carte Visa, ça me suffit

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