Salut à tous,
Je trouve que c’est un vrai débat, celui du racisme. Aussitôt qu’on parle du racisme on pense à la France et le problème des arabes de la banlieue et de “Barbes”, heureusement qu’au Québec tolérance prime et se trouve encore sacro-sainte.
Je tiens à faire une mise au point de ma part, j’ai tellement entendu parler du racisme en France et partout d’ailleurs (aux USA même : grande démocratie du monde) et je sorte toujours avec une conclusion générale, c’est le déficit d’intégration qui favorise le racisme. De cette relation de cause à effet, l’on peut tirer la conclusion comme quoi, nos chers immigrants maghrébins par exemple de la première génération en France (années 50) n’ont jamais dit nous sommes étrangers de la France nous sommes différents, aussi, les français parce qu’ils avaient besoin de la force de nos grands pères pour bâtir la France comme a dit (Doub) n’ont jamais étaient xénophobes. De leur part, le fait de trouver un travail bien payé faisait sentir aux immigrants de la première génération que cela est même une raison forte d’intégration, ils ont pensé rester en France et y fonder leurs foyers.
Les années soixante dix et après ça l’émergence de l’extrême droite de le Peine et compagnie ont favorisé la xénophobie parce que l’on crois que les maghrébins sont derrière la crise d’emploi que connaît la France, le taux de chômage qui arrivait avant à 13% faisait peur et les deux millions de maghrébins en France y était pour quelque chose suivant cette extrême droit .
Je suis content que l’emploi au Québec est flexible, l’intégration des nouveaux immigrants requièrent encore ses lettres de noblesse chez tous :
Racisme zéro, intégration (très bien).
Amir
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