Bilans d’un an et deux ans - Immigrer.com
mercredi , 24 avril 2024
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FAQTranche de vie, l'intégration

Bilans d’un an et deux ans

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Écrit par sarmisegetuza

La création d’entreprise?
Eh bien, ceci à été plus facile que de trouver un job:20 minutes pour l’enregistrer et, si vous n’êtes pas pressés…vous n’êtes même pas obligés de le faire…ça dépend du status que vous voulez prendre. Pour des conseils, du MICC, en passant par Emploi Québec et les ONG et en continuant par les CLD eh ben, y a de quoi faire….Armez vous de patience et du courage, accrochez vous à tous les gens qui ont les moyens de vous aider et vous obtiendrez ce qu’il vous faut.

Là ou ça va coincer un peu c’est comment acquerir la clientèle et gagner ça confiance, car ici vous n’êtes pas connus et sans un bon réseau de connaissances…y a du boulot! Des heures et des heures de travail et c’est pour cette raison que je dis qu’il vaut mieux attendre une bonne année avant de se lancer en affaires. Mais…plus têtu que mon époux y a pas…alors l’aventure continue…mais entre temps il a bien fallu qu’il se trouve un job car l’argent s’envole ici, comme par tout…
Et là, il n’a pas fini de m’épater…en voyant que l’affaire a bien du mal à faire sa place, un jour il prend le téléphone et il commence à faire du “magasinage” de jobs…lui qui n’vait même voulu aller voir comment faire un C.V. version américaine…et hop, au bout de 20 coups de fils…voilà ça job: réprésentant technique dans une compagnie franco-québécoise(!) qui commercialise les mêmes produits que son ancienne compagnie en France.

Faut dire qu’ils avait bien besoin de quelqun technique comme lui, pour les mêmes raisons pour lesquels notre propre compagnie avait un peu du mal à percer: convaincre la clientèle que les produits vendus seront vraiement d’un réel intérêt sur le marché canadien! Trois jours après le contrat est signé et ….à lui l’Amérique!
Et oui, c’est vraiment ça, l’Amérique! Pour quelqun qui a la bougeotte comme lui c’était une chance inéspérée! Résultat: aujourd’hui, apres 3 mois, il est devenu vraiement LA réfférence technique dans la compagnie, il voyage au 4 coin de Québec et dans une semaine il s’attaque à l’Ontario…et les voisins du sud…ils perdent rien pour attendre!!!

De l’autre côté, notre compagnie “dort” un peu, mais le concept est vraiement complex et il a besoin de beaucoup de …signatures….Notre déménagement pour les magnifiques Cantons de l’Est tombe à l’eau…mais pas mort…et la maison de rêve en bord de rivière attendra….Donc, la vie doit continuer!
Pour ce qui me concerne, une fois avoir fait le tour de la compagnie GAP, j’ai commencé a tourner en rond…Donc à peine les 3 mois passés, je suis partie!

Où?! Pas très loin, juste derrière le Centre EATON, et donc GAP, (…j’aime bien travailler dans le centre ville!…) à la Banque Laurentienne, au siège. Un poste de Représentant Service à la Clientèle(caissière) me tentait bien car ça faisait 6 mois que nous essayions d’avoir la Carte Visa et…pas moyen! Alors, une fois le contrat signé…voilà la VISA en poche…l’intervention du Directeur était pour quelque chose, car c’est là que j’ai apris que la VISA est refusée même aux quebécois qui n’ont pas de trace de crédit et non seulement aux immigrants….Le salaire est bien supérieur à ce que j’ai eu jusque là, les avantages aussi car j’ai eu un poste permanent et non temporaire et dans un an un taux d’hypotheque très , très sympa me fait coucou!!!! C’est un poste à temps partiel(24 heures)…mais c’est toujours bon à prendre.. Mais, voilà, après 3 mois j’en ai un peu marre de la routine… Etant donné que une de nos collegues à temps complet s’en va un congé de maternité je prend mon courage par les 2 les mains et je vais voir notre cher DG:” un poste à temps partiel ne fait plus vraiement l’affaire pour moi, car j’ai 2 enfants…dit moi comment faire pour avoir mes 32 heures de temps complet!….””Ben, il faudrait que tu passe au niveau 2 ou 3 pour avoir ça.””O.K.! et comment?””Il faut que tu passe l’examen(….question de syndicat…)””Et tu as un support de cour pour ça?je demande””Ben oui, dans 2 mois tu peux le passer si tu veux””Oh oui, que je le veux!”…Se sera un peu dur pour moi, car entre temps je commence aussi les cours à Université – 2 fois par semaine – mais…pas le choix…car, en dehors des 32 heures j’aurais l’augmentation de salaire aussi…
Mais…eh oui, il y en a un…en sortant de son bureau j’apprend que une autre collegue partie en vacances ne reviendra pas non plus…je retourne et je lui demande:”je pourrais prendre le poste de remplacement de congé de maternité quand même, au cas où l’éxaman ne passerait pas ou que un poste de niv 2 ne serait pas dispo tout de suite?””O.K.!” me dit il en souriant…

Et voilà, encore 4 mois après, la chance me souris….

Mais, je dois vous parler un peu des relations de travail dans mon nouveau environnement. Dès le début je me disait: “mais que est ce que je fous ici, moi qui n’ai jamais aimé travailler avec l’argent?!” Pour vous dire que j’ai fais des conneries au début. Mais, à aucun moment j’ai eu un mot reproche. C’était plutôt: “c’est rien, Carmen, on est tous passés par là, c’est normal. Tu aprendras de tes errerurs.” A tous moment , du Directeur et jusqu’à la dernière collegue de travail , j’ai été entourée de gens bienveillants et avenants….Très loin de ce que j’avais connu ailleurs….de plus, mon anglais…ben il va nettement mieux.
A côté de ça, étant donné que je m’occupe des comptes commerciaux….eh bien, j’ai 2 firmes de placement comme clients…Croyez vous que j’ai perdu mon temps?…Mais, non… Les personnes que j’ai comme contacts ont pris mon C.V….et le tour est joué! La semaine prochaine j’ai un rdv avec une d’entre elles…pour un poste d’agent de recrutement!

Ah, les chemins de la vie…

La vie d’un immigrant n’est jamais facile, ce n’est pas moi qui l’ai inventé…mais…la vie des gens d’ici est beaucoup moins drôle aussi…
Avec tout l’aide du MICC et toutes leur équipes, si vous ne vous aidez pas vous mêmes…ça ne marchera pas tout seul, non plus…
A la place de perdre son temps dans des actions du genre: “je suis ingénieur et je veux être que ça”….ben, ma fois, vous n’aurais pas grande chose au retour….
A la place de penser: “le québécois est raciste, hypocrite” et je ne sais plus quoi…et de dire ” ah oui, les immigrants travaillent dans des McDo, parce que c’est de la main d’oeuvre facile”…vous m’excusez mais les quebecois sont passés par là aussi. Chez GAP ou à la Banque j’ai rencontré des jeunes qui paient leur études, leur loyer en colocation et vivent de 900$/mois! J’ai rencontré des quebecoises de 40 ans qui reviennent sur le marché de travail après 10 ans passés à la maison et malgrès leur études universitaires elles doivent se contentés de petits job de vendeuses aussi, ne serais ce que le temps de refaire sa place…

Et j’ai rencontré aussi des quebecois qui, grâce à leur réseau de contacts, mon aidé moi, l’immigrante….
C’est notre première année ici et nous sommes très, très heureux d’être ici, c’est tout simple!
Un avis général?!

Un monde ouvert, accessible, libre. Depuis 13 ans que j’ai immigré la première fois je n’ai jamais eu cette sensation de liberté, surtout que, dans mon propre pays, je ne l’avait jamais connu….
Le Québéc est fidel à l’idée qu’on se fait de lui: des grands espaces, un monde qui reste encore ouvert à tout et à tous, libre à vous de faire votre chemin.

Non ce n’est pas Eldorado, mais un de seuls endroits au monde où nous pouvons tous trouver sa place….
J’aurais beaucoup d’autres choses à partager avec vous et beaucoup d’autres choses à aprendre aussi…
Ce site?! Dites vous que c’est l’image même du Québéc: on peut trouver un conseil, un ami, un job, une voiture, une maison…c’est ce que je disais: SA PLACE!

Coté travail, ben ça n’a pas été un jeu d’enfant, c’est sur.
en tant qu’agent de recrutement que je suis, j’ai quand même du avaler mon orgueuil et écouter sans cliquer les conseils de ceux qui étaient devant moi, des jeunes de 20-25 ans qui se donner à coeur joie à m’expliquer en quoi consiste l’experience nord-américaine. Et, surtout, me faire comprendre que, sans l’anglais, ben il falait ramer pour trouver quelque chose de convenable.
Alors, au bout de quelques jours j’ai dit “stop!”, je prend ça et on vera ensuite.

Donc, voici le parcours:
1 job – téléconseiller chez Bell. Le salaire correct et les avantages aussi même si ils viennent ….que quelques mois après. L’environement très jeune et dynamique Durrée…1 semaine…pas pour moi, car mon oreille avait ben de la misère à s’y faire avec l’accent de nos chèrs hôtes de l’immigration.
Retour à la case départ…:
2 job après une semaine, trouvé tout simplement en faisant du magasinage chez GAP: vendeuse, avec une promesse d’avancement après 3 mois.

Alors ici ça eté ma vraie école nord américaine, pas mieux pour perfectionner mon anglais. Mes collegues de travail, managers y compris n’avait querre plus de 30 ans, avec mes 33 ans j’étais la plus vieille. Mais quel bonheur car en fait j’ai travaillé avec…tout le CANADA! Des jeunes venus de tous le coins de ce beau pays faire leurs études ici: Vancouver, Calgary, Toronto, Québéc…Les anglophones étaient très contents de perfectionner leur français avec moi(tiens, ici j’ai pas d’accent bisare…)et moi super contente de perfectionner mon anglais.

Tenant compte de cet environnement jeune, l’adaptation c’est passé comme une lettre à la poste et après un mois j’étais la confidente de tous ces jeunes loins de leur père et mère, comme moi j’étais loins de mon pays et ma famille. Ou, encore mieux: j’étais “maman Carmen”, car ils étaient enchantés d’avoir comme collegue une “mammy”. Biensur que j’ai apris beaucoup ici mais mon expertise dans le service à la clientèle à été apprecié aussi, car au bout de quelques mois le “trainning” de nouveaux recruts avait adopté quelques uns de mes coseils et là j’ai compris que l’expérience nord américaine n’était plus vraiement un secret pour moi. Car, mine de rien, mes jeunes collegues mon bien fait bénéficié de leur précieux conseils de petits apprentis de la vie.
Conclusion de cette expérience: vous n’avez pas d’éxperience nord américaine mais vous arrivez avec un savoir faire que est tout de même précieux, le tout est de savoir comment attirer l’attention des employeurs la dessus. C’est sur que on vous l'”achetera” pas très cher au début, mais en retour vous aurez tout apris sur la mentalité des gens d’ici, leur façon de faire, sur la marché du travail et ces enjeux.

Entre temps mon époux, revenu de France, se met en tête mettre en place un concept d’entreprise. Et là, nous rentrons dans un tourbillon de choses et de faits qui nous amenent à rencontrer des gens des Ministères et autre Organismes et nous aprennons à quel point, en dehors de la vie civile, tout est accessible ici. Cerise sur le gâteau: serrer la main de Monsieur Charest, juste avant qu’il soit élu.

Et c’est là aussi que nous commençons à tisser notre toile, notre réseau comme on dit ici, nous nous déplaceons beaucoup en régions et nous sommes amenés à connaitre d’une autre manière la vie d’ici.
Mais là c’est une autre histoire….

A +

Sarmisegetuza

——————————-

2 ans icitte

Ecrit par: sarmisegetuza

Salut la gang!

Et voilà, nous y sommes au moment des bilans.

2 ans déjà pour nous ici, au Québec, au Canada.

En fait nous les avons déjà fêtés pendant nos vacances, le 4 août, jour de notre arrivée, avec nos familles, en Roumanie et, respectivement, en France. Ben oui, c’était la moindre des choses de le faire avec eux, mêmes si, certains, n’étaient pas pour cette idée de tout recommencer…

Alors…que-est ce que je pourais bien vous dire?!

Nous avons décidé de quitter la France après 12 et 15 ans de vie intense dans ce pays que j’aime…à ma façon C’est à dire, j’aime la France d’un Victor Hugo, d’une George Sand, d’un André Maurois…mais je n’aime pas la France dans sa réalité d’aujourd’hui, avec ses valeurs d’aujourd’hui…point.

La balance “bonnes/mauvaises choses” que cette première immigration nous a apporté penchant trop du côté “mauvais”, nous avons décidé que, pour le bien de toute notre famille, nous nous devions de nous en aller vers d’autres ciaux…puisque notre pays d’origine ne nous enchante toujours pas de revenir…

Alors, en 4 août 2002, nous voici partis à 10 000 km de là où nous sommes nés et à 6 000 km de là où nous avions tout éssayé, de nous “confondre dans la nature”…sans que l’éssentiel de l’être humain y arrive: le coeur. Non, notre coeur n’y était pas et , encore pire, celui de nos enfants nés en France, encore moins…

Nous voici au Québec, terre que nous avions introspecté bien avant et qui avait bien inspiré notre coeur, sans ombre d’un doute…l’Ontario, visité pas la même occasion, ne nous avait pas fait un pincement, malgrés la présence d’une bonne partie de nos amis d’enfance roumains….

Et voilà, nous avons mis pieds cet été 2004 avec des grands espoirs mais sans aucune attente, non aucune. Notre devise était “qui vivra, véra”, et le “veni, vidi, vici” nous l’avions bani de notre ésprit…

Après 2 mois d’installation, j’avais trouvé un travail – j’avais préféré une petite jobine dans une bonne ambiance, qu’une vraie job dans mon domaine, mais qui m’aurait bouffé la vie et l’énergie dès les premiers instants. Mon époux c’était mis dans la tête de faire partir son entreprise, dans un domaine qu’il ne maitrisait pas et c’est ce qui a fait que ça n’a pas marché…mais c’est toujours en stand-by, dès que le moment opportun sera venu

Alors, la situation étant telle, il s’est trouvé une job en 2 jours, dans son domaine. Mais, étant un autodidacte dans l’âme…doublé d’une tête de mûle …il demarra une autre entreprise, cette fois ci dans son domaine, et BINGO!, ça marche! Et les 2 à la fois: job et entreprise!

L’intégration des enfants fût, sans ombre d’un doute, la plus facile et la plus heureuse expérience que ces enfants ont pu connaitre jusqu’à ce jour. Des maîtresse aimantes, des collegues d’écoles de toutes les nations…ou presque…la chance d’aprendre l’anglais, et l’espagnol pour ma petite, de la façon la plus naturelle que se soit, en jouant avec les amis. LA conclusion fût : le Canada est notre maison!

Les amis…alors, ca va être simple: dès notre arrivée, les liens se sont créer très facilement avec les québecois qu’avec d’autres immigrants. Le secret de la réussite?! Allez vers les gens, parlez leur de vous et vos expériences, de vous mêmes, et demandez leur de vous parler de leur vie! Les québecois sont les êtres des plus curieux que j’ai pu rencontrer, mais aller plus loin que cette curieusité ne dépend pas que d’eux…Et quand on a des enfants c’est encore plus facile.

J’ai pu reprendre des études que j’avait du abandoné pour suivre, par amour, celui qui partage ma vie aujourd’hui. Des études que j’ai jamais pu reprendre en France…Aujourd’hui je suis fière de dire que j’étudie ici, non seulement parce que je me sens encore plus chez moi, mais parce que la vie d’étudiant m’a ouvert d’autres portes, pour aller plus loins dans mes rêves…

Alors, aujourd’hui?!

Nous avons une maison à nous, dans un cadre d’une beauté qui lui a valu la protection de l’Unesco – Mont Saint Hilaire – nous sommes près de la rivière Richélieu, un lieu aussi beau que historique, comme le témoigne les vieilles maisons, le fort de Chambly, la Vallé du Richélieu…et les arbres vieux de plus de 400 ans que nous croisons…sans parler de la tradition gastronomique de la région, vieille de 300 ans…Les enfants courrent après les lapins, les écureuils, les marmottes et les ratons laveurs à seulement 32 km de Montréal.

Et nous voilà revenus de nos premières vraies vacances depuis que nous sommes ici, comme je disais. Des vacances méritées, car l’immigration ça bouffe quand même de l’energie, n’est ce pas!…et 2 ans sans voir la famille c’était long aussi. Ce fut des moments de joies et de pleures aussi, car ma famille a perdu 2 de ses plus chers membres l’année dernière: mes grands parents. Ses êtres qui m’ont apris à aller au bout de mes rêves et de mes désirs, sans jamais baisser la tête, ni les bras, en restant fidèle à celle que je suis et aux valeurs que j’ai reçu. Mes maintenant, ma famille a pris la décision de nous rejoindre, alors petit à petit notre chez nous deviendra leur chez eux et ça c’est la chose qu’on pouvait le plus éspérer…

Alors, le bilan de cette deuxième année est des plus mouvementé: achat d’une maison, une vie d’étudiante très chargée, un changement de job pour aller plus dans le sens de ce que je veux faire…

Et la vie continue…

Eh bien, justement, au retour de vacances ma patrone m’annonce que l’entreprise va au plus mal…oui, ça je le savais…et? …eh bien, il faudrait de que je fasse plus de vente que de recrutement…ben…”non”, je dis. “Ce n’est pas ce que j’ai envie de faire”…”Ben alors, on va couper le poste”…”Parfait”!…et me voilà sans job depuis vendredi…et alors, vous aller me dire…eh bien….les vieux “démons” revient et mes projets en stand-by me réclament….car le moment opportunt est venu

alors la suite…peut être bientôt!

Vive le Québec, le Canada, l’Amérique..mon chez moi!

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