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D’ici 2015, 730 000 postes à combler au Québec

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Selon les dernières prévisions d’Emploi-Québec, plus de 730 000 postes seront à pourvoir au Québec d’ici 2015.

Près d’un emploi disponible sur trois exigera une formation professionnelle au secondaire ou une formation technique au collégial (CEGEP).

Selon la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI), 61 % des gens d’affaires interrogés ont dit être préoccupés par ce phénomène au Québec. La difficulté de recruter de la main-d’œuvre qualifiée est réelle dans de nombreux domaines, mais surtout dans les métiers spécialisés comme par exemple dans la construction. Et la pénurie d’employés se fait encore plus sentir dans le nord du Québec.

source : Jobboom

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Écrit par
Laurence Nadeau

Originaire de Montréal, Laurence Nadeau, cofondatrice d'immigrer.com, conférencière et aussi auteure de plus d'une dizaine de guides publiés (et mises à jour) en France sur l'installation, le travail et l'immigration au Québec et au Canada aux Éditions L'Express (et L'Étudiant). Auteure de "S'installer et travailler au Québec" aux éditions L'Express.

15 commentaires

  • Where are you from? http://zoombait.com/z-hog/ Purchase Alesse Kansas City struggled to move the ball for more than three quarters, but enjoyed some highlights on special teams and the way Reid and new starting quarterback Alex Smith worked together on the opening series, which produced the Chiefs’ only touchdown.

  • Pour répondre a peggy et aux autres qui « buguent » face aux méthodes quebecoises, il me semble qu’ils sont quand même assez clair: dipômés ou pas, riches ou pas, 50 ans d’age ou seulement 20 ans, 20 ans d’expériences ou zéro, les nouveaux arrivants doivent faire leurs preuves.
    Soit on est pret, soit on ne l’est pas.
    Je le suis (à 41 ans) …mais je n’ai pas une tune pour acheter le billet d’avion et me loger 3 ou 4 mois (obligatoire pour un visa). Oops!
    Mais je sais aussi que, grâce à ma grande patience, j’y arriverai un jour! 🙂
    Le quebec et l’autralie sont les 2 seuls endroits du monde occidental où tout est encore possible …mais il n’y a pas la neige en australie; c’est pourquoi j’ai toujours mon regard vers le quebec… 🙂

  • Pour répondre a peggy (et aux autres intervenants qui « buguent » face aux méthodes quebecoises), il me semble que leur message est quand même clair: diplômé ou pas, riche ou pas, 50 ans d’

  • Pour répondre à mes amis français.

    Premièrement, venir au Québec en terrain conquis ne mène rien, et donc pour un parisien cela sera très dure de s’intégrer car il devra oublier son air supérieur.

    Pour ma part qui était dans un domaine soit disant privilégié, il m’a fallu six mois pour un trouver un travail dans mon domaine, en France j’avais mis six ans.

    Le première étape en arrivant au Québec c’est d’obtenir une première expérience québécoise en prenant un petit job et surtout le test du premier hivers. Les Québécois ont peur d’embaucher quelqu’un qui ne serait pas capable de s’adapter aux froids hivernaux et qui repartirait dans son pays.

    La règle d’or au Québec, c’est l’expérience, les diplômes ne sont pas importants c’est juste un pré-requis rien à avoir avec le système élitiste français.

    Quand vous venez ici pour travailler, il vous faudra vous constituer un réseau. Commencer par celui que vous avez eu en France, pour vous créer des références que les québécois pourront contacter.
    En général, ils en demandent au moins trois.

    L’idéal serait de vous créer un compte sur « http://www.linkedin.com/ » et d’y inviter vos contacts en y mettant des appréciations.

    Quand j’ai quitté la France, j’ai pris un aller simple sans espoir de retour, c’est marche ou crève. C’est le seul moyen de réussir sinon l’attrait du retour en France se fera plus fort au moindre problème.
    Dans la vie, il faut perséverer, et au Québec seuls les meilleurs réussissent, ici c’est l’Amérique du Nord, tout marche au mérite et pas aux diplômes prestigieux, il faut faire ses preuves en permanence, les glandeurs se retrouvent sans rien pas comme en France où ils peuvent profiter d’un bon filet social.

    Un projet d’immigration se prépare au moins deux ans l’avance. Il va falloir aussi s’adapter à la culture et aux lois du pays et de la province d’accueil. Sur le long terme, nous devenons étranger dans les deux pays.

    En ce qui concerne les minorités visibles, c’est encore plus dure de se faire accepter, il ne faut pas oublier que la culture américaine a énormément influencer les canadiens aussi, l’influence du « White Anglo-Saxon Protestant » reste toujours valable même si le Québec est en majorité catholique.

    En Amérique du Nord, la ségrégation raciale existe même si officiellement personne le dira.
    Les Amérindiens sont parqués comme des animaux dans des réserves, et pour les Inuits c’est la même chose, la pauvreté est de mise pour ces deux peuples.

    Ceux qui réussissent le mieux sont les asiatiques, les juifs, et les blancs, les deux premiers grâce à leurs réseaux. Et cela est valable dans tous les pays occidentaux. Ce n’est pas du racisme c’est juste une méconnaisse des autres cultures et religions. Certaines religions font peur aux américains.

    Donc il faut avoir à l’esprit tous ses aspects quand vous venez ici.

    La France est bien plus conservatrice que ne l’est le Canada ou le Québec, mais il faut juste être patient. Ici la patience et le…

  • Anne Marie : Voilà pourquoi beaucoup de Français ne reste pas …
    Personne n’attend les Français pour bosser !
    Tout le monde sait qu’en immigrant on repart de zéro.. si tu ny étais pas prête, il ne fallait pas faire la démarche 😉

  • Bonjour,
    J’ai obtenu la résidence permanente il y a 2 ans et je n’ai pas trouvé de missions au Canada malgré le temps et l’énergie et l’argent dépensés. Pour finir je n’ai pas fait le grand saut car, à chaque fois, l’enthousiasme des québécois ne s’est pas du tout révélé fructueux dans le concret. En d’autres termes, on va te faire travailler mais plus rien. Alors je suis restée en France car ici j’ai des missions qui correspondent à mon niveau scolaire (doctorat en communication).

    J’adore venir au Canada mais je devrais repartir de zéro… (à 45 balais et avec 20 ans d’expériences) et mon fils qui à 12 ans est en 3eme devrait retourner dans sa classe d’age à Montréal, donc régresser… Et, si je veux le mettre dans une école anglophone, et bien c’est pas possible, dans une école pour enfants précoces ? une fortune.

  • Pour résister à l’encerclement anglophone, pour les millions d’euros apportés par les dizaines de milliers d’immigrants, pour vos enfants et pour une main d’oeuvre sur diplômée qui vendra des pop corns, du café et des sandwiches pendant quelques mois voire plus, dans le pire des cas, ou pour devenir adjoint administratif, vendeur d’assurances, agent immobilier ou mineur.

  • J’ai eu la même expérience dans mon domaine, sois-disant très en pénurie de la médecine, et pourtant je suis prêt à travailler en région: après beaucoup de temps et de travail, après avoir dû fournir des documents genre les notes de maternelle, et d’argent dépensé en déplacements, j’ai dû renoncer. Je suis au moins soulagé que d’autres aient eu la même expérience. En fait, cela fait vivre toute une administration que l’on paie à chaque étape, et je ne parle pas des voyages. Plus facile de travailler à Londres ou à Singapour!

  • bonjour à tous je suis chauffeur routier en france 20 ans expérience je possède un titre professionnel de conducteur routier marchandises sur tous véhicules ,quelqun pourrait-il me dire si ca correspond au dep?car ja’i fais une demande d’immigration il y a 5 ans on nous a refusés ,merci de votre réponse.cordialement à tous et à toutes.

  • Je suis d’accord avec vous, moi je suis avocate j’ai fini secrétaire a 15$ de l’heure dans un bureau pour pouvoir manger, j’ai du a regret quitter le Quebec pour reprendre une vie décente.
    C’est dommage mais seule la main d’oeuvre immigrée et bon marché les intéresse.

  • Beaucoup de marketing, de promesses et quand vous arrivez la situation est bien différente!
    Pas vraiment une manque de profissionnels. Sauf pour informatique et pour les infiermières.
    Malgré les équivalences (45 jours, mais ils ne tiennent jamais le délai et cela peut tarder 9 mois, 1 an), les professionnels qualifié n’a pas ses compétences réconnues dans la pratique. Il faut répartir à zéro comme si la personne n’avait rien fait dans sa vie professionnelle.
    Sans une formation québécoise et la une expérience québécoise dans le métier, pas de boulot dans votre métier. Tout pour bloquer l’entrée des entrangers qu’ils même appelent dans le marché de travail et les mettre à remplir les Cégeps et universités . Il va rester quelques « jobs » mal payés, temps partiel, pendant quelques jours.

  • Ouais, rigolo ça !

    Y’a bien des places … pour les québécois ! et me faites pas (encore) le coup des équivalences d’études, c’est bon que sur le papier, on peut s’en servir pour aller aux toilettes ou retourner aux études.

    Bon désolé, ça m’énerve qu’on ne dise pas réellement aux immigrés que , sauf miracle, ils n’auront PAS de poste suivant leur qualification/expérience mais devront repartir à ZÉRO.
    La preuve, je repars à zéro … et dans l’autre sens 😉

  • Pour te répondre, j’ai l’impression que l’on demande toujours une expérience québécoise lors d’un entretien d’embauche… Et surtout, il n’y a pas d’équivalence des diplomes. Cependant, la politique commence a changer avec certaines équivalence mais ce n’est jamais assez rapide. Je pense que quand la situation sera critique, les vrais changements arriveront, car il sera difficile de combler rapidement ce manque…

  • Je ne comprends pas le Québec dit toujours avoir besoin de main d’oeuvre qualifié dans certains domaines et lorsque l’on postule , on nous renvoie au bas de l’échelle et paye une misere !!! Non non je comprends pas alors pourquoi demander de la main d’oeuvre etrangere ??

  • Centre Éducatif

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