Notre aventure au Québec se termine en France - Immigrer.com
vendredi , 19 avril 2024
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Notre aventure au Québec se termine en France

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De princecharmant

Bonjour,

 

Voici le récit de notre aventure au Québec qui s’est soldée par un retour en France récemment.

 

Nous sommes un couple fin quarantaine, bonne éducation, bonne présentation et expérimenté chacun dans notre domaine professionnel (accueil-standard/secrétariat et conduite de véhicule de transport en commun.

 

La vente de notre appartement en 2009 donne l’idée à mon mari de rechercher sur internet une résidence secondaire à l’Etranger dans un pays où la langue parlée est le Français. Le rêve nord-américain planait au-dessus de nos têtes. 

Au début, je n’ai pas adhéré à 100 % à cette idée et puis quelques semaines plus tard, nous avions sélectionné plusieurs maisons grandes, belles et peu chères dans la Province de Québec plus exactement dans la Région Chaudière-Appalaches à une cinquantaine de km du Maine aux Etats-Unis.

 

Après plusieurs mois de réflexion et de contacts par mail et téléphone, nous décidons de faire un voyage éclair de 4 jours au Québec visiter 3 maisons.

 

Nous étions à la fois enthousiastes d’aller pour la première fois au Canada et de découvrir une toute petite partie de cet immense pays et angoissés de la suite si l’une des maisons nous convenait !

 

Nous voilà partis et c’est le début de l’aventure. Nous sommes en mai 2010.

Le voyage en avion, l’arrivée à l’aéroport sont de très bons souvenirs.

Nous avions loué un véhicule par internet et nous étions prêts à prendre la route.

 

Traversée d’une partie de la ville de Québec pour ensuite prendre l’autoroute 73 Sud.

Nous étions enfin sur le sol canadien et nous partions à la découverte de l’inconnu.

 

Première visite : le village nous a déplu, trop plat, peu d’intérêt.

Deuxième visite : le style de la maison était plutôt rococo et il y avait beaucoup de travaux à prévoir, elle se situait en face d’une usine.

Nous étions déçus ! 

 

La troisième visite a été la bonne : joli village, belle maison avec du terrain et bien située.

Nous sommes tombés sous le charme et nous avons signé le soir même chez le notaire.

 

Nous sommes rentrés en France avec une promesse d’achat signée et u mois et demi plus tard, nous étions les heureux propriétaires de notre cabane au canada.

 

Nous y sommes retournés plusieurs fois et avons fait connaissance avec des voisins gentils et agréables avec lesquels nous avons lié une vraie amitié.

 

Nous appréciions de plus en plus la qualité de vie, les grands espaces et le calme et encouragés par nos amis du village, nous avons commencé les démarches administratives auprès du Bureau d’Immigration du Québec et de l’Ambassade du Canada en septembre 2010.

 

Après 1 an et demi d’attente, d’entretien d’évaluation, de visite médicale poussée et d’examens médicaux à notre charge et 3000 euros de frais de dossier, nous avons obtenu le précieux document tant espéré… L’attestation nominative pour chacun de résident permanent.

Beaucoup d’angoisse et de patience puis une grande joie.

 

Nous étions en avril 2012…

 

A bientôt pour la suite surprenante… 

 

 

 

———

De Automne

ahhhhh pas gentil de nous laisser sur la faim…

 

une résidence secondaire, ça veut dire que c’est juste venir ici une fois de temps en temps et non pas d’y vivre définitivement non?

———

De ced01

Bonjour,

 

Voici le récit de notre aventure au Québec qui s’est soldée par un retour en France récemment.

 

Nous sommes un couple fin quarantaine, bonne éducation, bonne présentation et expérimenté chacun dans notre domaine professionnel (accueil-standard/secrétariat et conduite de véhicule de transport en commun.

 

La vente de notre appartement en 2009 donne l’idée à mon mari de rechercher sur internet une résidence secondaire à l’Etranger dans un pays où la langue parlée est le Français. Le rêve nord-américain planait au-dessus de nos têtes. 

Au début, je n’ai pas adhéré à 100 % à cette idée et puis quelques semaines plus tard, nous avions sélectionné plusieurs maisons grandes, belles et peu chères dans la Province de Québec plus exactement dans la Région Chaudière-Appalaches à une cinquantaine de km du Maine aux Etats-Unis.

 

Après plusieurs mois de réflexion et de contacts par mail et téléphone, nous décidons de faire un voyage éclair de 4 jours au Québec visiter 3 maisons.

 

Nous étions à la fois enthousiastes d’aller pour la première fois au Canada et de découvrir une toute petite partie de cet immense pays et angoissés de la suite si l’une des maisons nous convenait !

 

Nous voilà partis et c’est le début de l’aventure. Nous sommes en mai 2010.

Le voyage en avion, l’arrivée à l’aéroport sont de très bons souvenirs.

Nous avions loué un véhicule par internet et nous étions prêts à prendre la route.

 

Traversée d’une partie de la ville de Québec pour ensuite prendre l’autoroute 73 Sud.

Nous étions enfin sur le sol canadien et nous partions à la découverte de l’inconnu.

 

Première visite : le village nous a déplu, trop plat, peu d’intérêt.

Deuxième visite : le style de la maison était plutôt rococo et il y avait beaucoup de travaux à prévoir, elle se situait en face d’une usine.

Nous étions déçus ! 

 

La troisième visite a été la bonne : joli village, belle maison avec du terrain et bien située.

Nous sommes tombés sous le charme et nous avons signé le soir même chez le notaire.

 

Nous sommes rentrés en France avec une promesse d’achat signée et u mois et demi plus tard, nous étions les heureux propriétaires de notre cabane au canada.

 

Nous y sommes retournés plusieurs fois et avons fait connaissance avec des voisins gentils et agréables avec lesquels nous avons lié une vraie amitié.

 

Nous appréciions de plus en plus la qualité de vie, les grands espaces et le calme et encouragés par nos amis du village, nous avons commencé les démarches administratives auprès du Bureau d’Immigration du Québec et de l’Ambassade du Canada en septembre 2010.

 

Après 1 an et demi d’attente, d’entretien d’évaluation, de visite médicale poussée et d’examens médicaux à notre charge et 3000 euros de frais de dossier, nous avons obtenu le précieux document tant espéré… L’attestation nominative pour chacun de résident permanent.

Beaucoup d’angoisse et de patience puis une grande joie.

 

Nous étions en avril 2012…

 

A bientôt pour la suite surprenante… 

 

 

 

A quand le prochain épisode??

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De trefle

On connait déjà la fin, dommage !  Mais y a tout de même du suspense, le retour fut-il forcé ou voulu ?

Revenez vite nous en dire plus.

Crdl

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De Mme Tetue

lol oui faut donner la suite car faire tout un témoignage positif et dire que finalement vous êtes rentré… j’espère que ce n’est pas une punition de qq1 qui ne donnera pas la suite

———

De Chacha25

La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!  :biggrin2:  :Crylol:

 

C’est pas cool de nous laisser sur notre faim …  :crying:

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De pensacola30

AHHHH hâte de lire la suite suspens suspens lol

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De lorelai

Mais quel suspens insoutenable !!!

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De Jolidanseur

Wouais……

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De knakie

Dis nous la suite!

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De Mme Tetue

1er post…moi je vous dis que vous resterez sur votre faim !!

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De Cyril Chem

Bonjour,

 

Voici le récit de notre aventure au Québec qui s’est soldée par un retour en France récemment.

 

Nous sommes un couple fin quarantaine, bonne éducation, bonne présentation et expérimenté chacun dans notre domaine professionnel (accueil-standard/secrétariat et conduite de véhicule de transport en commun.

 

La vente de notre appartement en 2009 donne l’idée à mon mari de rechercher sur internet une résidence secondaire à l’Etranger dans un pays où la langue parlée est le Français. Le rêve nord-américain planait au-dessus de nos têtes. 

Au début, je n’ai pas adhéré à 100 % à cette idée et puis quelques semaines plus tard, nous avions sélectionné plusieurs maisons grandes, belles et peu chères dans la Province de Québec plus exactement dans la Région Chaudière-Appalaches à une cinquantaine de km du Maine aux Etats-Unis.

 

Après plusieurs mois de réflexion et de contacts par mail et téléphone, nous décidons de faire un voyage éclair de 4 jours au Québec visiter 3 maisons.

 

Nous étions à la fois enthousiastes d’aller pour la première fois au Canada et de découvrir une toute petite partie de cet immense pays et angoissés de la suite si l’une des maisons nous convenait !

 

Nous voilà partis et c’est le début de l’aventure. Nous sommes en mai 2010.

Le voyage en avion, l’arrivée à l’aéroport sont de très bons souvenirs.

Nous avions loué un véhicule par internet et nous étions prêts à prendre la route.

 

Traversée d’une partie de la ville de Québec pour ensuite prendre l’autoroute 73 Sud.

Nous étions enfin sur le sol canadien et nous partions à la découverte de l’inconnu.

 

Première visite : le village nous a déplu, trop plat, peu d’intérêt.

Deuxième visite : le style de la maison était plutôt rococo et il y avait beaucoup de travaux à prévoir, elle se situait en face d’une usine.

Nous étions déçus ! 

 

La troisième visite a été la bonne : joli village, belle maison avec du terrain et bien située.

Nous sommes tombés sous le charme et nous avons signé le soir même chez le notaire.

 

Nous sommes rentrés en France avec une promesse d’achat signée et u mois et demi plus tard, nous étions les heureux propriétaires de notre cabane au canada.

 

Nous y sommes retournés plusieurs fois et avons fait connaissance avec des voisins gentils et agréables avec lesquels nous avons lié une vraie amitié.

 

Nous appréciions de plus en plus la qualité de vie, les grands espaces et le calme et encouragés par nos amis du village, nous avons commencé les démarches administratives auprès du Bureau d’Immigration du Québec et de l’Ambassade du Canada en septembre 2010.

 

Après 1 an et demi d’attente, d’entretien d’évaluation, de visite médicale poussée et d’examens médicaux à notre charge et 3000 euros de frais de dossier, nous avons obtenu le précieux document tant espéré… L’attestation nominative pour chacun de résident permanent.

Beaucoup d’angoisse et de patience puis une grande joie.

 

Nous étions en avril 2012…

 

A bientôt pour la suite surprenante… 

 

 

bonjour

hâte de lire la suite de votre périple canadien.

 

au plaisir de vous lire

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De irlish

s’ils auraient été en décembre j’aurais cru qu’ils sont restés coincés dans leur maison car pas capables de pelleter la neige, mais en avril…

 

qu’est ce qu’il peut bien leur être arrivé?

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De Fortin Isabelle

ben alors la suite, malgrès que j’ai peur de connaitre l’isseue

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De Païen

Notre aventure au Québec se termine en France

 

Je m’attendais à une mauvaise aventure, mais tout à l’air de se passer pour le mieux =)

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De Jolidanseur

C’est à dire ????????

Ce n’est plus un forum, mais un jeu ?????

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De lorelai

Je crois que nous n’aurons jamais le fin mot de l’histoire… :sleeping:

———

De princecharmant

Bonjour à tout le monde !

 

Désolée d’avoir été si longue à reprendre le récit de nos aventures mais beaucoup de mouvements pour nous et un petit déménagement de plus à notre actif !!!

 

Donc nous étions en avril 2012 période à laquelle nous avons su la bonne nouvelle : statut de résident permanent accordé par l’Ambassade du Canada.

 

A partir de ce moment-là, les journées n’étaient plus assez longues entre le travail et les préparatifs de départ (lettre de démission pour moi, demande de disponibilité pour mon mari, préavis de départ pour l’appartement les démarches vétérinaires pour emmener notre chat avec nous, savoir où stocker nos meubles au cas où…etc etc…)

 

Un séjour était prévu en mai (réservé depuis janvier !) et nous avons arrêté la date du 1er août pour notre vrai départ qui devait être définitif…

 

L’annonce de notre décision à nos familles et nos amis a été délicate et a causé bien des pleurs. De plus, nous vivions des moments difficiles car notre meilleur ami accompagnait son amie hélas en fin de vie.

 

Nous sommes partis en mai comme prévu mais à la douane canadienne oh surprise, nous avons failli être renvoyé car nous ne savions pas qu’à partir du moment où nous avions eu l’acceptation du statut de résident permanent, il fallait s’installer au Québec au prochain voyage !

Nous étions de toute bonne foi et le douanier très sympathique après s’être renseigné nous a laissé passer.

En fait, ce qui l’avait intrigué c’est une malle en fer que nous avions apportée avec nous avec déjà des affaires personnelles en vue de notre installation.

 

Nous voilà arrivés dans notre village où nous avons annoncé notre arrivée prochaine à notre entourage. Tout le monde était très heureux pour nous.

 

Ce dernier séjour avant installation nous a permis de préparer le terrain comme on dit.

 

De retour sur Paris, les semaines ont défilé très rapidement.

 

Sont arrivés le dernier jour de travail pour nous 2, l’au revoir poignant pour moi aux collègues de travail, le déménagement et le stockage de nos meubles dans la famille. Il a fallu apporter un soutien moral constant à notre ami qui venait d’être frappé par ce deuil quelques jours avant notre départ de Paris. Des instants émouvants et forts partagés avec des personnes qu’on apprécient mais qui avaient ébranlé un peu mon moral.

 

Quelques jours dans la famille en Bourgogne pour apprécier une dernière fois avant on ne savait pas combien de temps les repas familiaux et notre terre d’origine.

 

Réservation d’hôtel à Roissy pour passer la dernière nuit avant le jour J, derniers préparatifs, le pesage des valises qui sont trop lourdes.. le choix des affaires qu’on doit laisser sur place dans la famille ! Dernières heures stressantes et agitées.

 

Les pleurs sur le quai de la gare qu’on n’oublie pas… et voilà l’aventure commence.

Nous sommes le 31 juillet et demain 1er août ce sera le grand départ !

 

Le voyage en avion malgré 4h de retard se passe bien. On a l’impression d’être dans un rêve.

 

Arrivée à l’aéroport Jean Lesage à Québec, passage à la douane puis au bureau d’immigration en soirée… On nous valide nos documents de résidence permanente et on nous souhaite la bienvenue… 

 

Cà y est le rêve devient tout à coup réalité et les larmes montent au yeux… On a réussi !

 

Nous sommes au Québec et nous sommes officiellement résidents permanents.

 

On est fatigué mais heureux. On prend la voiture de location réservée pour 1 semaine le temps d’en acheter une et hop destination région Chaudières Appalaches où notre maison nous attend.

 

Il est 2 h du matin quand nous arrivons dans notre village. On se stationne devant notre jolie maison, on ouvre la porte d’entrée, on dépose sur le sol notre chat qui a été un amour pendant tout ce long voyage (en cabine avec nous) et on lui dit “c’est ta nouvelle maison, tu es au Canada de l’autre côté de l’Atlantique sur un nouveau continent”, on se regarde, on se sourit, on pleure, on s’embrasse.

 

Nous sommes dans la nuit du 1er au 2 août 2012 et nous arrivons au Québec en Amérique du Nord cette fois plein de bonne volonté, d’espoir et de courage pour une meilleure qualité de vie…

 

L’épisode 3 bientôt… 

 

 

Martine et Laurent

 

 

 

 

 

 

 

———

De Automne

ahhhhhhhhhhhhhhh!

 

j’aime pas attendre..

 

ça aurait pas été mieux de le mettre à la suite de l’autre, au cas où d’autres n’ont pas encore lu le #1?

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De caroline77

Cette histoire traîne en longueur avec beaucoup de bla-bla et peu de contenu, sous fond de pollution de forum à ouvrir 10 sujets pour raconter la même chose…

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De dentan

Caroline 77 pourquoi polluer les récits des autres, tu tu n’aimes pas alors ne lis pas, mais stp arrêtes de te prendre pour une critique littéraire! Comme tu dis si bien : ”get a life!!”

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De Mélanie et Fred

Bonjour à tout le monde !

 

Désolée d’avoir été si longue à reprendre le récit de nos aventures mais beaucoup de mouvements pour nous et un petit déménagement de plus à notre actif !!!

 

Donc nous étions en avril 2012 période à laquelle nous avons su la bonne nouvelle : statut de résident permanent accordé par l’Ambassade du Canada.

 

A partir de ce moment-là, les journées n’étaient plus assez longues entre le travail et les préparatifs de départ (lettre de démission pour moi, demande de disponibilité pour mon mari, préavis de départ pour l’appartement les démarches vétérinaires pour emmener notre chat avec nous, savoir où stocker nos meubles au cas où…etc etc…)

 

Un séjour était prévu en mai (réservé depuis janvier !) et nous avons arrêté la date du 1er août pour notre vrai départ qui devait être définitif…

 

L’annonce de notre décision à nos familles et nos amis a été délicate et a causé bien des pleurs. De plus, nous vivions des moments difficiles car notre meilleur ami accompagnait son amie hélas en fin de vie.

 

Nous sommes partis en mai comme prévu mais à la douane canadienne oh surprise, nous avons failli être renvoyé car nous ne savions pas qu’à partir du moment où nous avions eu l’acceptation du statut de résident permanent, il fallait s’installer au Québec au prochain voyage !

Nous étions de toute bonne foi et le douanier très sympathique après s’être renseigné nous a laissé passer.

En fait, ce qui l’avait intrigué c’est une malle en fer que nous avions apportée avec nous avec déjà des affaires personnelles en vue de notre installation.

 

Nous voilà arrivés dans notre village où nous avons annoncé notre arrivée prochaine à notre entourage. Tout le monde était très heureux pour nous.

 

Ce dernier séjour avant installation nous a permis de préparer le terrain comme on dit.

 

De retour sur Paris, les semaines ont défilé très rapidement.

 

Sont arrivés le dernier jour de travail pour nous 2, l’au revoir poignant pour moi aux collègues de travail, le déménagement et le stockage de nos meubles dans la famille. Il a fallu apporter un soutien moral constant à notre ami qui venait d’être frappé par ce deuil quelques jours avant notre départ de Paris. Des instants émouvants et forts partagés avec des personnes qu’on apprécient mais qui avaient ébranlé un peu mon moral.

 

Quelques jours dans la famille en Bourgogne pour apprécier une dernière fois avant on ne savait pas combien de temps les repas familiaux et notre terre d’origine.

 

Réservation d’hôtel à Roissy pour passer la dernière nuit avant le jour J, derniers préparatifs, le pesage des valises qui sont trop lourdes.. le choix des affaires qu’on doit laisser sur place dans la famille ! Dernières heures stressantes et agitées.

 

Les pleurs sur le quai de la gare qu’on n’oublie pas… et voilà l’aventure commence.

Nous sommes le 31 juillet et demain 1er août ce sera le grand départ !

 

Le voyage en avion malgré 4h de retard se passe bien. On a l’impression d’être dans un rêve.

 

Arrivée à l’aéroport Jean Lesage à Québec, passage à la douane puis au bureau d’immigration en soirée… On nous valide nos documents de résidence permanente et on nous souhaite la bienvenue… 

 

Cà y est le rêve devient tout à coup réalité et les larmes montent au yeux… On a réussi !

 

Nous sommes au Québec et nous sommes officiellement résidents permanents.

 

On est fatigué mais heureux. On prend la voiture de location réservée pour 1 semaine le temps d’en acheter une et hop destination région Chaudières Appalaches où notre maison nous attend.

 

Il est 2 h du matin quand nous arrivons dans notre village. On se stationne devant notre jolie maison, on ouvre la porte d’entrée, on dépose sur le sol notre chat qui a été un amour pendant tout ce long voyage (en cabine avec nous) et on lui dit “c’est ta nouvelle maison, tu es au Canada de l’autre côté de l’Atlantique sur un nouveau continent”, on se regarde, on se sourit, on pleure, on s’embrasse.

 

Nous sommes dans la nuit du 1er au 2 août 2012 et nous arrivons au Québec en Amérique du Nord cette fois plein de bonne volonté, d’espoir et de courage pour une meilleure qualité de vie…

 

L’épisode 3 bientôt… 

 

 

Martine et Laurent

 

 

 

 

 

 

 

On veut la suite … !!!!! (rires) La semaine passée nous avons vu sur le site que la décision a été prise pour notre demande de résidence permanente maintenant on attend le verdict. C’est hyper stressant !!! Du coup votre post me rend encore plus curieuse de découvrir la suite, nous avons prévu de partir au printemps si tout va bien. Vous faites quoi comme travail ? avez vous trouvé rapidement ? La famille vous manque pas trop au bout d’un an une fois que le quotidien reprend son cours petit à petit ?  Voilà on a plein de questions. Bonne continuation à vous.  

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De francknathalie05

Avec une lettre de voyage , vous pouviez simplement valider vos RP, puis repartir en France sereinement…

Voir site officiel de l’ambassade pour ceux que ca concerneraient à l’avenir.

 

Un recit, qui occupe du monde mais finalement …..

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De Pandore

 

Un recit, qui occupe du monde mais finalement …..

 

…. rien d’extraordinaire ! :biggrin2:

———

De francknathalie05

 

 

Un recit, qui occupe du monde mais finalement …..

 

…. rien d’extraordinaire ! :biggrin2:

 

Non, mais ca marche vu le titre et les 22 personnes abonnées…

Dans l’ensemble, nous avons tous ressenti ces sentiments.

 

Mais attendons, patientons !!

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De Edwige11

Alors alors ?!… On veut la suiiiiiiiiite 😉

Edwige

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De vam55

la suite !!!! lol

la suite !!! lol

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De mornmegil

Tout se passe bien et pourtant le titre nous indique un retour……

Comment stresser des gens avec de simples mots 😉

Normalement la on commence les spéculations….

 

Mal du pays, difficulté pour le travail, retour en France mais en vacances en tant que Canadien….

Bientôt un film 😉

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De Un Canadien errant

On appelle ça un coït interrompu… 😀

Le titre aurait du être: “Notre aventure au Québec NE se termine PAS en France”

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De The_King

Même si vous connaissez bien Martine et Laurent que nous sommes vacciné et immunisé contre l’impatience, mais il faut savoir qu’il y a une limite pour notre patience… :8):  

 

La suite quand pour Noël?????????? :whistlingb:

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De The PDN

La suiteeeeeeeeeeeee… :Crylol:  :blush2:  :Crylol:  :blush2:

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De princecharmant

3ème et dernière partie !

 

Puisque tout le monde est impatient de connaître la suite et fin et que les réflexions commencent à fuser, je ne prendrai pas le temps de faire une belle histoire comme pour les 2 précédents épisodes car manque de temps.

 

Nous étions arrêtés à la nuit du 1er au 2 août 2012 jour de notre arrivée dans notre maison en Chaudière-Appalaches.

 

Beau mois d’août passé dans notre maison à la rénovation et aux moments entre amis.

Fin du mois, déjà les premières réflexions sur notre avenir dans ce pays.

 

La galère pointe le nez… Travail en usine pour tous les 2 à la ville de Québec, impossible de continuer à vivre dans notre maison et de faire près de 300 kms par jour A/R pour travailler.

 

Location d’un studio triste et impersonnel à Québec et nous voilà une nouvelle fois déracinés de ce que l’on aime…

 

Les mois passent, changement de travail pour chacun correspondant mieux à nos attentes et compétences professionnelles et mille questions qui nous viennent à l’esprit. Le doute de vivre au Canada s’est installé depuis déjà un bon moment !

 

A mon travail, on me dit de rester à la maison cause manque de travail ou on m’augmente mes heures quand c’est la période des Fêtes !!!

Je travaille sans contrat de travail mais j’ai des feuilles de paies, drôle de mentalité tout de même !!! La stabilité et la garantie d’emploi n’existent pas et c’est bien dommage…

 

Quant à Laurent, il a été renvoyé la veille de Noël après subi du harcèlement moral de la part d’un de ses collèges de travail !!! eh oui, là-bas aussi çà existe et surtout quand on est Français… Désolés pour les gentils Québécois rencontrés qui hélas ne sont pas nombreux dans le monde du travail. 

 

La situation se dégrade rapidement et le moral est au plus bas.

 

Obligation de demander de l’aide aux associations humanitaires pour manger !!! çà n’est jamais arrivé en France !!!

 

Laurent a retrouvé du travail et à cumuler 2 emplois pendant plusieurs mois 7 jours sur 7 !!! Vive le travail au Québec !

 

Quant à moi de 40 h par semaine je me suis retrouvée avec 8 h par semaine ! Comment vivre avec çà ???

 

Nouvel emploi pour moi et à nouveau usine !!!

 

Décision prise en mars 2013 de rentrer en France accompagné de notre chat qui a déjà fait le voyage aller et de retrouver nos familles et nos amis.

Quel bonheur le jour où les billets d’avion de retour ont été pris !

 

S’en sont suivis la restitution de l’appartement de Québec, la vente de notre voiture et le plus important au dernier moment la vente de notre maison.

 

La page du Canada s’est tournée définitivement et nous sommes heureux d’avoir pris cette décision.

 

Nous sommes rentrés en France heureux mais déçus de ne pas avoir été acceptés au Québec après toutes les démarches administratives effectuées, les 3000 euros de frais, les angoisses et l’attente !

 

Nous remercions chaleureusement nos amis québécois avec lesquels nous avons gardé contact et qui nous ont soutenu moralement et amicalement pendant ces mois d’exil et notre ami français qui est venu nous rendre visite à Québec ainsi que mon ex-collègue venue passée une semaine de vacances avec son mari et sa fille et avec lesquels nous avons passé de bons moments de détente.

 

Voilà fin de notre histoire au Québec.

 

A tous ceux qui rêvent de s’installer là-bas, nous disons bon courage et réfléchissez bien avant de vous embarquer dans une telle aventure !

 

 

 

Martine et Laurent

 

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De Babdelkader

Bonne chance pour la suite.

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De CELINEMAELLE

Dommage c’était bien parti!!! la décision d’immigrer, de persisté ou de laissé tomber appartient a chacun! je vous souhaite une trés bonne continuation! et bon courage! l’essentiel dans une vie est d’etre heureux et de ne rien regretter!!! en tous cas trés belle histoire et trés bien racontée!

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De The PDN

Dommage malgres tous ce que vous aviez mentionné nos amis au Quebec nous racontent le contraire que tout est parfait et Ideal et ils sont des immigrants depuis 2 a 3 ans, Alors… !!!

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De juetben

au moins ça nuance les idées que tout est superbe ici…

 

par exemple vous viviez dans un monde assez idyllique… immigré ne signifie pas que vous ne pouvez être en difficulté professionnelle! des québécois dans la misère il y en a, alors pourquoi pas les immigrants (payer des frais ne vous donne pas un statut spécial!)

 

une très grosse erreur, acheter une maison sans avoir de stabilité professionnelle! c’est souvent répété ici qu’il faut privilégier un logement temporaire, une location le temps de trouver ses marques.

 

pas de contrat de travail, ce n’est encore pas une surprise, mais pas de contrat ne signifie pas, ne pas avoir de droits… et les mises à pieds pour manque de travail sont courantes, ça une autre réalité d’ici.

 

au final, il y a de l’amertume et de la déception, mais vous avez tenter votre chance et fait votre expérience, votre statut est encore valide, peut être avec plus de préparation vous pouvez faire un retour plus tard… bon retour en France….

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De kjaerlighet

La garantie d’emploi existe c’est seulement au bout de deux ans d’ancienneté qu’on ne peux pas être licencié sans motif réel et sérieux.

 

C’est bizarre moi j’ai jamais eu de problèmes avec les Québécois quand au fait d’être français…

———

De Kweli

La garantie d’emploi existe c’est seulement au bout de deux ans d’ancienneté qu’on ne peux pas être licencié sans motif réel et sérieux.

 

C’est bizarre moi j’ai jamais eu de problèmes avec les Québécois quand au fait d’être français…

 

 

La chance de tomber sur un individu bouché est à peu près égale pour tout le monde je pense, ce n’est pas pour rien qu’il y a des mesures contre le harcèlement au travail. Les harceleurs savent s’y prendre pour identifier le maillon faible d’une personne. Pour certains, c’est d’être né à l’étranger, pour d’autres, c’est d’être petit, ou jeune, ou gai, ou timide, etc. 

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De rayjean

Si j’ai bien compris dans la première partie du récit il y a un voyage exploratoire du Québec de 4 jours pour y acheter une maison dans un coin perdu un peu comme s’il s’agissait d’une quelconque région de France. Le reste coule de source.

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De Automne

c’est sûr aussi que ça dépend du domaine de travail.  dans les usines, y’a souvent des hauts, des bas. du travail saisonnier etc..

après, je comprend pas trop que vous avez pas pu trouver dans vos domaines respectifs?

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De crazy_marty

Deux choses que je retiens et qui expliquent tout:

 

….acheter une maison au milieu de nulle part sans avoir ne serait-ce que regarder autour si y’avait du travail…ou dans le même sens avoir acheté une maison avant d’avoir un emploi…

 

…avoir immigré juste pour habiter dans une maison achetée sur un coup de tête, sans s’être renseigné sur comment se passe le monde du travail local…ben oui le pas de contrat c’est pas nouveau…et la mise à pied du jour au lendemain non plus…

 

En fait j’ai l’impression que vous avez fait les choses à l’envers et surtout que vous avez changé d’avis entretemps: vous avez voulu passer d’une résidence secondaire à une résidence principale, en oubliant les étapes importantes entre les deux.

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De aso

c’est à se demander si cette histoire est vraie ou inventée, car faire preuve d’autant d’amateurisme et d’inconscience est à peine croyable.

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De Axel_et_Vio

Donc pour résumer (si j’ai bien compris) :
– Vous avez acheté au Québec une maison à 300 km de la grande ville la plus proche
– tout en restant encore en France pendant un an et demi car vous n’aviez pas encore fait vos démarches d’immigration.
– Quand finalement vous arrivez au Québec avec vos papiers en règle, vous réalisez (enfin) que le travail se trouve à la ville (!)
– …et dès la fin août, un mois après être arrivés,vous songez déjà à repartir. (!)
– Vous trouvez finalement du boulot à Québec, mais au lieu de revendre votre maison et de vous prendre quelque chose de décent à Québec pour vous y faire une belle vie… vous décidez de louer un studio à Québec et de garder la maison (où vous n’avez de toute facon plus les moyens ni le temps d’aller)…

Wow !
Vous aimez la complexité.
Là, je dis respect.

Je pars avec ma femme et ma fille dans 2 mois
En ce qui nous concerne, nous n’allons rien faire comme vous : tout dans l’autre sens :
boulot (ma femme a déjà le sien de réservé), location meublée pendant quelques mois, puis achat résidence principale pas trop loin de nos boulots, puis éventuellement une résidence secondaire.

(Tu m’étonnes qu’il y en a qui foirent leur immigration, on dirait qu’ils le font exprès.)

———

De Blueberry

 

Je pars avec ma femme et ma fille dans 2 mois
En ce qui nous concerne, nous n’allons rien faire comme vous : tout dans l’autre sens :
boulot (ma femme a déjà le sien de réservé), location meublée pendant quelques mois, puis achat résidence principale pas trop loin de nos boulots, puis éventuellement une résidence secondaire.

(Tu m’étonnes qu’il y en a qui foirent leur immigration, on dirait qu’ils le font exprès.)

 

Et comment sais-tu qu’ils ont raté leur immigration? Ils n’ont même pas fini de raconter leur histoire il me semble.

 

Tout le monde n’a pas la possibilité de faire comme vous, car tous les immigrants ne sont pas informaticiens et infirmiers et tout le monde ne rêve pas d’habiter en ville non plus.

 

Aussi, dans une immigration, tout n’est jamais vraiment prévisible à 100%. Je suis certaine que vous le constaterez par vous-même une fois que vous serez effectivement sur place et aurez une expérience concrète.

 

Il est facile de juger et de critiquer quand on est encore bien confortable dans son pays d’origine….

———

De caroline77

Là il y a quand même du cas d’école…

 

 

 

 

Et comment sais-tu qu’ils ont raté leur immigration? Ils n’ont même pas fini de raconter leur histoire il me semble.

 

Tout le monde n’a pas la possibilité de faire comme vous, car tous les immigrants ne sont pas informaticiens et infirmiers et tout le monde ne rêve pas d’habiter en ville non plus.

 

Aussi, dans une immigration, tout n’est jamais vraiment prévisible à 100%. Je suis certaine que vous le constaterez par vous-même une fois que vous serez effectivement sur place et aurez une expérience concrète.

 

Il est facile de juger et de critiquer quand on est encore bien confortable dans son pays d’origine….

 

 

Se précipiter à acheter une maison sans être fixé professionnellement, c’est une ânerie sans nom et c’est une donnée à peu près universelle. 

———

De Aloane

Je ne sais pas si enfoncer le couteau dans la plaie est le meilleur moyen d’avoir des témoignages…Je rajouterais seulement ceci ” ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort ” et n’arrêtez surtout pas de rêver c’est une des plus belle chose qui nous permet d’avancer dans la vie. Merci pour votre témoignage et bon retour en France

———

De tothewild

Ah ! Blueberry ! Merci pour ta merveilleuse intervention !

La défenseuse des causes perdues…

 

“Et comment sais-tu qu’ils ont raté leur immigration? Ils n’ont même pas fini de raconter leur histoire il me semble.”

    Alors pour info, si si, ils ont bien finit de raconter. Ils écrivent “3ème et dernière partie !”.

    Dans mon language, en tout cas, ça veut dire que c’est fini.

 

“Tout le monde n’a pas la possibilité de faire comme vous, car tous les immigrants ne sont pas informaticiens et infirmiers et tout le monde ne rêve pas d’habiter en ville non plus.”

    Excuses moi, mais il serait bien plus juste de dire : tout le monde n’a pas la possibilité de faire ce que s’est permis ce couple, à savoir acheter une résidence secondaire avant la principale, tout en étant même pas encore sûrs d’avoir les papiers et un boulot sur place, etc.

    Pour le reste, il me semble que, en France, tout le monde a la possibilité de faire des études d’infirmières (en France, elles peuvent se faire dans le publique et être en parties rémunérées), et un DUT en informatique, c’est 2 ans dans l’enseignement publique.

    Et de toute façon, il n’y a pas que ces deux métiers qu permettent d’habiter à la ville. Pour info, en attendant de trouver un boulot dans l’informatique après notre arrivé, je ferais n’importe quelle petite jobine, même si je dois laver les WC dans un fast food.

 

“Aussi, dans une immigration, tout n’est jamais vraiment prévisible à 100%. Je suis certaine que vous le constaterez par vous-même une fois que vous serez effectivement sur place et aurez une expérience concrète.”
“Il est facile de juger et de critiquer quand on est encore bien confortable dans son pays d’origine….”

    Ah, chère Blueberry, je reconnais bien là ton habituel esprit positif ! Youpi !

    Attention, les petits futurs immigrants qui êtes des bleus en immigration et qui n’y connaissez rien au Canada, vous allez avoir plein plein plein de problèmes et vous ne pourrez pas dire que Blueberry qui est depuis très longtemps au Canada ne vous aura pas prévenus.

    Bon, excuses moi, mais apparement, contrairement à toi, je pense que la plupart des problèmes malheureux qui sont arrivés à ce couple était définitivement… prévisibles.

    Et je trouve dommage que tu ne fasse pas l’honneur aux lecteurs de ce forum de penser qu’ils ne commettrons pas les mêmes erreurs (à peine croyables) qui ont été racontées dans ce récit.

 

Aloane, c’est vrai que j’ai un peu enfoncé le couteau dans la plaie sur la fin de mon post. Pardon, mais là c’était vraiment difficile de se retenir. Pardon encore.

Ce que je voudrais c’est surtout minimiser l’impact négatif des quelques personnes qui foirent leur immigration et qui viennent l’étaler sur le forum en effrayant les 99% d’autres personnes qui sont des personnes de bon sens et pour lesquelles tout devrait sauf imprévu (mais ici ce n’était vraiment pas le cas) très bien se passer.

 

Bon, j’arrête, je vais encore me faire lyncher d’être positif et de croire que plus de gens font une immigration sans problème que le contraire.

 

En tout cas, c’est certain, j’espère également pour ce couple que cela les aura rendu plus forts.

———

De Blueberry

Ah ! Blueberry ! Merci pour ta merveilleuse intervention !

La défenseuse des causes perdues…

 

“Et comment sais-tu qu’ils ont raté leur immigration? Ils n’ont même pas fini de raconter leur histoire il me semble.”

    Alors pour info, si si, ils ont bien finit de raconter. Ils écrivent “3ème et dernière partie !”.

    Dans mon language, en tout cas, ça veut dire que c’est fini.

 

“Tout le monde n’a pas la possibilité de faire comme vous, car tous les immigrants ne sont pas informaticiens et infirmiers et tout le monde ne rêve pas d’habiter en ville non plus.”

    Excuses moi, mais il serait bien plus juste de dire : tout le monde n’a pas la possibilité de faire ce que s’est permis ce couple, à savoir acheter une résidence secondaire avant la principale, tout en étant même pas encore sûrs d’avoir les papiers et un boulot sur place, etc.

    Pour le reste, il me semble que, en France, tout le monde a la possibilité de faire des études d’infirmières (en France, elles peuvent se faire dans le publique et être en parties rémunérées), et un DUT en informatique, c’est 2 ans dans l’enseignement publique.

    Et de toute façon, il n’y a pas que ces deux métiers qu permettent d’habiter à la ville. Pour info, en attendant de trouver un boulot dans l’informatique après notre arrivé, je ferais n’importe quelle petite jobine, même si je dois laver les WC dans un fast food.

 

“Aussi, dans une immigration, tout n’est jamais vraiment prévisible à 100%. Je suis certaine que vous le constaterez par vous-même une fois que vous serez effectivement sur place et aurez une expérience concrète.”
“Il est facile de juger et de critiquer quand on est encore bien confortable dans son pays d’origine….”

    Ah, chère Blueberry, je reconnais bien là ton habituel esprit positif ! Youpi !

    Attention, les petits futurs immigrants qui êtes des bleus en immigration et qui n’y connaissez rien au Canada, vous allez avoir plein plein plein de problèmes et vous ne pourrez pas dire que Blueberry qui est depuis très longtemps au Canada ne vous aura pas prévenus.

    Bon, excuses moi, mais apparement, contrairement à toi, je pense que la plupart des problèmes malheureux qui sont arrivés à ce couple était définitivement… prévisibles.

    Et je trouve dommage que tu ne fasse pas l’honneur aux lecteurs de ce forum de penser qu’ils ne commettrons pas les mêmes erreurs (à peine croyables) qui ont été racontées dans ce récit.

 

 

 

Merci de relire très, très attentivement mes propos avec tes doigts…..

———

De Maraudeur

Merci d’etre venu temoigner. Désolé que vous recoltiez certains messages aussi méchants que gratuits.

Certains ont besoin d’ecraser les autres pour avoir l’impression de surnager. J’espere que ca ne vous affectera pas outre mesure.

Si vous avez fais des erreurs, vous le savez plus que quiconque et vous etes les seuls a devoir les assumer.

Au final, vous avez fais qques choses que peu de personnes font dans la vie, et il vous reste quelques décennies a profiter de la vie.

Bonne continuation

Envoyé par l’application mobile Forum IC

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De Automne

 

Ah ! Blueberry ! Merci pour ta merveilleuse intervention !

La défenseuse des causes perdues…

 

“Et comment sais-tu qu’ils ont raté leur immigration? Ils n’ont même pas fini de raconter leur histoire il me semble.”

    Alors pour info, si si, ils ont bien finit de raconter. Ils écrivent “3ème et dernière partie !”.

    Dans mon language, en tout cas, ça veut dire que c’est fini.

 

“Tout le monde n’a pas la possibilité de faire comme vous, car tous les immigrants ne sont pas informaticiens et infirmiers et tout le monde ne rêve pas d’habiter en ville non plus.”

    Excuses moi, mais il serait bien plus juste de dire : tout le monde n’a pas la possibilité de faire ce que s’est permis ce couple, à savoir acheter une résidence secondaire avant la principale, tout en étant même pas encore sûrs d’avoir les papiers et un boulot sur place, etc.

    Pour le reste, il me semble que, en France, tout le monde a la possibilité de faire des études d’infirmières (en France, elles peuvent se faire dans le publique et être en parties rémunérées), et un DUT en informatique, c’est 2 ans dans l’enseignement publique.

    Et de toute façon, il n’y a pas que ces deux métiers qu permettent d’habiter à la ville. Pour info, en attendant de trouver un boulot dans l’informatique après notre arrivé, je ferais n’importe quelle petite jobine, même si je dois laver les WC dans un fast food.

 

“Aussi, dans une immigration, tout n’est jamais vraiment prévisible à 100%. Je suis certaine que vous le constaterez par vous-même une fois que vous serez effectivement sur place et aurez une expérience concrète.”
“Il est facile de juger et de critiquer quand on est encore bien confortable dans son pays d’origine….”

    Ah, chère Blueberry, je reconnais bien là ton habituel esprit positif ! Youpi !

    Attention, les petits futurs immigrants qui êtes des bleus en immigration et qui n’y connaissez rien au Canada, vous allez avoir plein plein plein de problèmes et vous ne pourrez pas dire que Blueberry qui est depuis très longtemps au Canada ne vous aura pas prévenus.

    Bon, excuses moi, mais apparement, contrairement à toi, je pense que la plupart des problèmes malheureux qui sont arrivés à ce couple était définitivement… prévisibles.

    Et je trouve dommage que tu ne fasse pas l’honneur aux lecteurs de ce forum de penser qu’ils ne commettrons pas les mêmes erreurs (à peine croyables) qui ont été racontées dans ce récit.

 

 

 

Merci de relire très, très attentivement mes propos avec tes doigts…..

 

c’est français cette expression? Caroline l’utilise beaucoup aussi

———

De caroline77

Ça n’a rien d’une expression : c’est utilisé par les professeurs en classe de première année d’école primaire, quand ils apprennent à lire à leurs élèves. Ça veut dire ce que ça veut dire.

———

De Automne

Ça n’a rien d’une expression : c’est utilisé par les professeurs en classe de première année d’école primaire, quand ils apprennent à lire à leurs élèves. Ça veut dire ce que ça veut dire.

vos professeurs rabaissent les enfants dès leur plus jeune âge?

 

parce que de dire ça, c’est de dire à quelqu’un qu’il est un peu con de pas avoir lu comme il faut et c’est assez insultant.

———

De caroline77

Je ne vois pas ce que ça a de rabaissant pour un élève de 7 ans de lui dire de relire la phrase avec ses doigts s’il a mal lu. J’ignore si on laisse croire aux enfants de 7 ans qu’ils ont la science infuse au Québec…

 

C’est sûr que dire ça à une personne adulte, c’est déjà autre chose.

———

De trefle

Ah! Que c’est triste la réaction de ceux qui se croient auréolés des palmes de la réussite sans aucune ombre parce qu’ils ont un métier recherché, ils pensent ne pas être touché par la “grâce” d’un renvoi !  On peut se préparer, se blinder et s’applaudir personne n’est à l’abri d’un coup de vent.  Moi aussi j’ai cru que je serais intouchable de par mon métier ! Eh! Ben non, on m’a remise au niveau de tout le monde !

———

De SoFarSoGood

Une fois de + d’accord avec toi.

 

Pitoyable le passage “yakafaire un DUT info en 2 ans ou devenir infirmière”, comme s’il suffisait de claquer des doigts pour avoir l’argent pour ça, le temps et le dossier scolaire nécessaire pour le faire.

 

Personne n’est à l’abri ici, facile de donner des leçons depuis la France.

———

De mornmegil

Merci pour le partage de votre aventure qui ne se finit pas comme vous auriez voulu.

c’est dommage que vous n’ayez pas pu trouver un job près de chez vous mais rappel aussi que l’emploi au Québec est comme partout… Y a des hauts et des bas et que changer de pays n’est pas une aventure sans risque.

 

Malgré cette aventure avez vous toujours l’envie de changer de pays ou allez vous voir un nouvel endroit en France pour y vivre ?

 

Je vous souhaite de trouver tout de même un petit cocon douillet bien à vous pour la suite.

———

De Denis Granger

Je pars avec ma femme et ma fille dans 2 mois
En ce qui nous concerne, nous n’allons rien faire comme vous : tout dans l’autre sens :
boulot (ma femme a déjà le sien de réservé), location meublée pendant quelques mois, puis achat résidence principale pas trop loin de nos boulots, puis éventuellement une résidence secondaire.
(Tu m’étonnes qu’il y en a qui foirent leur immigration, on dirait qu’ils le font exprès.)

 
Et comment sais-tu qu’ils ont raté leur immigration? Ils n’ont même pas fini de raconter leur histoire il me semble.
 
Tout le monde n’a pas la possibilité de faire comme vous, car tous les immigrants ne sont pas informaticiens et infirmiers et tout le monde ne rêve pas d’habiter en ville non plus.
 
Aussi, dans une immigration, tout n’est jamais vraiment prévisible à 100%. Je suis certaine que vous le constaterez par vous-même une fois que vous serez effectivement sur place et aurez une expérience concrète.
 
Il est facile de juger et de critiquer quand on est encore bien confortable dans son pays d’origine….

Vous l’avez la fin de l’histoire… Vous qui êtes sur le forum tous les jours, vous devez quand même bien admettre que leur histoire était pratiquement vouée à l’échec.

———

De juetben

moi j’ai toujours voulue une maison sur le bord d’un lac dans le bois… mais dans le bois j’ai pas de travail! résultat je suis en ville! parfois c’est juste une question de logique, de ne pas mettre la charrue avant les boeufs, de ne pas agir sur un coups de tête! dire pourquoi ça n’a pas forcément marché n’a rien de méchant ou de se sentir supérieur mais juste être réaliste!! 

———

De DidinePhilou

Donc pour résumer (si j’ai bien compris) :
– Vous avez acheté au Québec une maison à 300 km de la grande ville la plus proche
– tout en restant encore en France pendant un an et demi car vous n’aviez pas encore fait vos démarches d’immigration.
– Quand finalement vous arrivez au Québec avec vos papiers en règle, vous réalisez (enfin) que le travail se trouve à la ville (!)
– …et dès la fin août, un mois après être arrivés,vous songez déjà à repartir. (!)
– Vous trouvez finalement du boulot à Québec, mais au lieu de revendre votre maison et de vous prendre quelque chose de décent à Québec pour vous y faire une belle vie… vous décidez de louer un studio à Québec et de garder la maison (où vous n’avez de toute facon plus les moyens ni le temps d’aller)…

Wow !
Vous aimez la complexité.
Là, je dis respect.

Je pars avec ma femme et ma fille dans 2 mois
En ce qui nous concerne, nous n’allons rien faire comme vous : tout dans l’autre sens :
boulot (ma femme a déjà le sien de réservé), location meublée pendant quelques mois, puis achat résidence principale pas trop loin de nos boulots, puis éventuellement une résidence secondaire.

(Tu m’étonnes qu’il y en a qui foirent leur immigration, on dirait qu’ils le font exprès.)

Complètement d’accord avec vous!!

 

Vive les bisounours!! Venez pas vous plaindre après de ne pas y être arrivés, c’est évident!!!

 

Axel et Vio, nous aussi même chronolgie dans la démarches!!

 

Bonne chance à vous!!!!

———

De Cèdre

 

Donc pour résumer (si j’ai bien compris) :
– Vous avez acheté au Québec une maison à 300 km de la grande ville la plus proche
– tout en restant encore en France pendant un an et demi car vous n’aviez pas encore fait vos démarches d’immigration.
– Quand finalement vous arrivez au Québec avec vos papiers en règle, vous réalisez (enfin) que le travail se trouve à la ville (!)
– …et dès la fin août, un mois après être arrivés,vous songez déjà à repartir. (!)
– Vous trouvez finalement du boulot à Québec, mais au lieu de revendre votre maison et de vous prendre quelque chose de décent à Québec pour vous y faire une belle vie… vous décidez de louer un studio à Québec et de garder la maison (où vous n’avez de toute facon plus les moyens ni le temps d’aller)…

Wow !
Vous aimez la complexité.
Là, je dis respect.

Je pars avec ma femme et ma fille dans 2 mois
En ce qui nous concerne, nous n’allons rien faire comme vous : tout dans l’autre sens :
boulot (ma femme a déjà le sien de réservé), location meublée pendant quelques mois, puis achat résidence principale pas trop loin de nos boulots, puis éventuellement une résidence secondaire.

(Tu m’étonnes qu’il y en a qui foirent leur immigration, on dirait qu’ils le font exprès.)

Complètement d’accord avec vous!!

 

Vive les bisounours!! Venez pas vous plaindre après de ne pas y être arrivés, c’est évident!!!

 

Axel et Vio, nous aussi même chronolgie dans la démarches!!

 

Bonne chance à vous!!!!

 

 

 

Bon… on a bien compris que ces personnes n’ont pas forcément fait les bons choix. Néanmoins, inutile de leur lancer en pleine face leurs erreurs ou échecs. Je trouve même plutôt sympas de partager leur expérience, ça peut servir de leçon à certains.

 

On peut ne pas être d’accord avec les choix qu’ils ont fait (c’est mon cas), tout en respectant ces personnes. Pas la peine d’être condescendants et ironiques 😉

———

De Automne

Une fois de + d’accord avec toi.

 

Pitoyable le passage “yakafaire un DUT info en 2 ans ou devenir infirmière”, comme s’il suffisait de claquer des doigts pour avoir l’argent pour ça, le temps et le dossier scolaire nécessaire pour le faire.

 

Personne n’est à l’abri ici, facile de donner des leçons depuis la France.

dans l’entreprise de mon mari qui travaille dans l’informatique, ça fait deux vagues de licenciement massif en 1 an.  faut pas juste avoir un diplôme, il faut être compétant et performant aussi.

———

De sophie.1940

La crise économique elle est  bien présente aussi au  Canada…..si les gens qui habitent au Québec(par exemple), ne le voient pas , sont vraiment “aveugles”….. :blush2:

———

De Colonel Bradock

Quand je lis ce récit, j’ai plus l’impression qu’ils voulaient plus s’expatrier qu’immigrer avec toutes les contraintes que cela peut comporter :

 

– Repartir de zéro en terme d’expérience et de diplôme,

– Commencer par les jobines,

– Endurer les difficultés liées à l’immigration (Pas d’emploi direct dans son domaine, reprendre les cours, etc..),

– Supporter, le harcèlement, les discriminations, etc..,

– Patienter souvent plus de 2 ans avant d’avoir un Job qu’on aurait souhaité .

 

Je ne veux pas leur enfoncer le clou, mais je reste persuadé que s’ils avaient songé un temps soit peu à tous ces écueils dans leur préparation, ils auraient vécu différemment les choses.

 

Autre chose, elle dit :  “Nous sommes rentrés en France heureux mais déçus de ne pas avoir été acceptés au Québec après toutes les démarches administratives effectuées, les 3000 euros de frais, les angoisses et l’attente !”

 

Je continue à penser que le Quebec nous accepte de par notre profil, mais c’est nous qui nous faisons accepter par la société Québécoise en faisant l’effort de comprendre comment cette société fonctionne, qu’es-ce qu’il faut faire et ne pas faire. Si on est bien préparé, comprendre que les choses qui nous arrivent devraient arriver et être capable de trouver les voies et moyens pour les surmonter ou les contourner.

 

Autre facteur à prendre en compte, le temps : Un an, c’est pas assez pour prendre une décision comme celle de rentrer, si d’aventure on s’était préparé.

 

Bon, après tout, c’est très facile de le dire quand on est pas encore sur place.

 

 

Mais, je vous souhaite de reconsidérer votre projet, re

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